DRTV MEDIA CULTURE
  L'actu en bref
 


La direction DRTV Diversity Radio Tv vous souhaite une très bonne écoute de la Webradio


 
 
L'ACTU EN BREF
 
SANTÉ                    
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Le chlorhydrate d'aluminium serait la cause de très nombreux cancers du sein.  Il s'agit de l'explication d'une des origines du cancer du sein. C'est une spécialiste en biologie cellulaire qui l'a écrit, Mme Gabriela Casanova Larrosa de l'université d'Uruguay
La cause principale pour le cancer du sein est l'utilisation D'ANTI-TRANSPIRANTS.
La plupart des produits sur le marché sont une combinaison d'anti-transpirants et déodorants.
Regardez, la composition de vos produits à la maison.... S'il y en a qui contiennent Chlorhydrate d'aluminium
(même sous le nom de déodorants)
Il faut les jeter à la poubelle et essayer des autres marques qui n'ont pas de composants sur base d'aluminium. Il y en a sur le marché. La raison est simple.
Le corps humain a seulement quelques zones susceptibles d'éliminer des toxines : derrière les genoux, derrière les oreilles, l'entre jambes et les aisselles.
Les toxines sont éliminées sous forme de transpiration. Les anti-transpirants empêchent cette transpiration, donc évitent la mission corporelle d'élimination de toxines au travers des aisselles.
Ces toxines ne disparaissent pas. Elles sont stockées dans les Glandes lymphatiques qui se trouvent en dessous des bras. La plupart des cancers de sein sont origines dans cette région supérieure du sein.
Les hommes sont moins susceptibles de développer ce type de maladie car même s'ils utilisent les anti-transpirants, ceux-ci restent sur les poils des aisselles et ne s'appliquent pas directement sur la peau.
Les femmes qui s'appliquent ce produit tout de suite après le rasage sont en train d'accroître le risque car les petites blessures causées par le rasage font que les produits chimiques pénètrent plus facilement dans le corps.
S.v.p., informez toutes les femmes et tous les hommes que vous connaissez. Le cancer de sein prend aujourd'hui des proportions vraiment alarmantes.
Si avec cette notice nous pouvons en éviter quelques-uns, ça ne sera jamais.
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         DANS LA PRESSE HAÏTIENNE
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Vendredi 25 septembre 2009
Quelques extraits du discours très attendu du Président Préval à la tribune de l'ONU:
Monsieur le Président,
 
  ......."Il semble, même, qu'en plus des nombreuses crises de toutes sortes (alimentaires, énergétiques, financières etc...) qui imposent déjà un lourd tribut a nos populations, certains d'entre nous doivent maintenant s'habituer aux chocs récurrents qui proviennent des désastres naturels.
 
Nous devons, à chaque coup, reconstruire les mêmes infrastructures qui ont été détruites; nous devons rétablir les mêmes capacités productives qui ont été balayées par les cyclones et les inondations.
 
Et, faute de ressources suffisantes, le processus de reconstruction n'est pas déclenché a temps et il faut se préparer au retour des catastrophes avant même que les communautés aient pu se relever des désastres précédents.
C'est apparemment cela, le nouveau cycle de vie auquel les pays vulnérables, comme le notre, doivent être préparés.   Avec des moyens insuffisants.
 
Cette situation n'est pas le fait du hasard. Elle est la conséquence directe du modèle de développement et de gouvernance que les nations reconnues comme puissantes ont imposé au reste du monde, pendant plusieurs siècles.
 
Un modèle de développement et de gouvernance surtout préoccupé du bonheur de l'argent et trop peu de celui des gens.
 
Un modèle de développement qui au sein même des pays riches impose une vie précaire à une grande  partie de leurs propres populations, privées de soins de santé, de logements décents et même d'une éducation de qualité.
 
..... Pour citer Georges Orwell: « au delà d'un certain niveau d'inégalité, il n'y a plus de monde commun ».
 
Les criantes inégalités qui caractérisent les situations de nos pays sont une gêne pour la constitution de la grande famille que devrait être l'Organisation des Nations Unies.
 
Monsieur Le Président,
Le moment est venu d'opposer à la globalisation du  profit à tout prix, érigé en nouveau credo, une globalisation de la solidarité, seul garante de l'éradication de la misère  prônée par l'honorable assemblée à laquelle je m'adresse aujourd'hui.
 
C'est l'occasion pour moi de redire ici, devant cette assemblée, que le vrai vecteur de la paix, de la stabilité et de la sécurité, c'est le développement.  L'aide reçue par nos pays en développement sera inefficace et sera la source de grandes frustrations pour le donateur et le bénéficiaire, si elle n'est pas inscrite dans une perspective de création et de développement des capacités productives de nos pays.   C'est le seul moyen de mettre fin au cycle de la pauvreté et de la dépendance.
 
Les Haïtiens, comme beaucoup d'autres peuples des pays du Sud, sont un peuple laborieux, ingénieux et entrepreneur; doté d'une grande résilience forgée dans la gestion du déboire quotidien, et capable d'exploiter a l'extrême limite et d'optimiser la moindre ressource mise a sa disposition.  Nos peuples ont soif de mobiliser ce potentiel et cette capacité pour prendre la voie du développement soutenable.
Développer notre pays est donc une tâche possible.
 
Cependant, tous les efforts en cours risquent de rester sans effet si nous ne parvenons pas a faire émerger un nouveau paradigme de la coopération internationale.
 
Un nouveau paradigme qui nous demande d'aller au-delà de la logique de l'aide humanitaire et qui reconnait la capacité des pauvres à faire des affaires et de produire des richesses, grâce aux moyens et opportunités qui leur sont offerts pour renforcer leurs capacités productives. Faute d'une telle vision nouvelle, en rupture avec la culture de l'aide humanitaire perpétuelle, la paix et la stabilité ne seront que des conquêtes précaires et fugaces.
 
Monsieur le Président,
Permettez-moi d'ajouter un mot sur Haïti, puisque mon pays fait l'objet d'une attention particulière du Conseil de Sécurité.
 
Au cours des trois dernières années, en dépit de l'impact négatif de nombreuses crises internationales sur notre économie, d'importants progrès ont été accomplis, notamment dans la sécurité, dans le respect des droits humains, dans le climat d'investissement, dans l'élimination de la corruption, et dans l'instauration d'une société conviviale où le dialogue occupe une place centrale, soutenu et relayé par une presse totalement libre et indépendante.
 
Ces progrès doivent être soutenus, approfondis et étendus.
 
Voilà  pourquoi le soutien des Nations Unies est nécessaire pour nous.
 
Le Secrétaire Général des Nations Unies, dans son rapport au Conseil de sécurité a recommandé de prolonger d'une nouvelle année le mandat de la MINUSTHA.
 
Cette proposition est bien venue et rencontre notre pleine adhésion.
 
Nous sommes persuadés qu'un dosage optimal de ses composantes militaires, policières et administratives mettra la MINUSTHA en meilleure condition pour assister notre pays plus efficacement dans la consolidation du climat de paix et de stabilité sans la rendre indifférente aux luttes que nous mettons pour la reconstruction, la réduction de la vulnérabilité et l'élimination de la pauvreté.
 
Je remercie également le Secrétaire Général d'avoir fait choix de Bill Clinton, un ami d'Haïti, comme son envoyé spécial dans notre pays.
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Texte intégral de l'Adresse à la nation de René Préval en départ pour la tribune de l’ONU:
«Cela fait maintenant de longs mois qu'une crise au sein de la Faculté de Médecine et de Pharmacie, paralyse l'Université d'Etat d'Haïti, menace la paix publique et est la source de nombreux drames humains.
«Mandaté par le peuple Haïtien, chargé par la Constitution de la bonne marche des institutions de la République, j'avais néanmoins choisi de respecter l'autonomie de l'Université, confiant que les auteurs directement impliqués auraient pu dégager, dans le dialogue, des solutions harmonieuses et réalistes aux problèmes sérieux soulevés à l'occasion de cette crise.
«L'Etat dont j'ai la charge s'était jusqu'ici limité à garantir le respect de la loi et la paix des rues, laissant aux universitaires la responsabilité de résoudre une crise qui à l'origine s'était présentée sous un aspect purement académique.
«Mais il est aujourd'hui évident que la confrontation a débordé ce cadre initial et que ses interlocuteurs ne peuvent seuls y trouver une issue satisfaisante. Ce n'est plus simplement le fonctionnement d'une institution qui est bloqué, mais celui d'une société déjà fragilisée. L'intégrité des biens et des vies de nombreux citoyens est quotidiennement violée, au nom de revendications recevables mais qui ne sauraient être défendues de cette manière-là, sous un régime qui respecte scrupuleusement les conquêtes populaires des libertés civiques et des libertés d'expression et d'association en particulier.
« J'ai conscience d'avoir été critiqué pour mon obsession d'une stabilité fondée sur le dialogue permanent entre acteurs sociaux et politiques, plutôt que sur l'autoritarisme. Je persiste : le dialogue et la stabilité sont les seules garanties du l'autoritarisme. Je persiste : le dialogue et la stabilité sont les seules garanties du progrès et du bonheur de notre peuple, mais également de la reconquête de notre souveraineté nationale, trop souvent sabordée par les comportements de ceux-là même qui se présentent comme ses plus ardents défenseurs.
« La crise de l'Université sera résolue par le dialogue, au sein de l'institution, mais également entre elle et l'ensemble de la société. L'autonomie universitaire ne libère pas la nation de ses engagements envers son université, ni l'université de ses devoirs vis-à-vis la nation.
«Sollicité par des parents inquiets de voir leurs sacrifices réduits à néant, par des citoyens traumatisés par la répétition des atteintes à leurs biens et à leurs activités vitales, par une Force Publique en pleine reconstitution et trop souvent mobilisée par l'incivisme ambiant, j'ai décidé de m'investir dans la résolution de cette crise.
« Elle comporte à la fois des aspects urgents mais sous-tendus par un malaise sociétal dont la genèse comme les solutions dépassent l'étendue d'un simple mandat quinquennal. Ce malaise ne sera levé que par un engagement sur le long terme de l'Etat et de l'ensemble de la citoyenneté.
«En ce qui concerne les problèmes exigeant des solutions immédiates, j'ai décidé d'une part de mandater un comité chargé de facilité dans le meilleur délai la reprise d'un fonctionnement harmonieux de l'université d'Etat. De l'autre, et malgré les difficultés financières évidentes auxquelles notre Etat est confronté, de dégager les ressources indispensables à la résolution des problèmes les plus urgents. Les plus profonds seront pris en compte par un effort soutenu de l'ensemble de la nation pour redéfinir une politique de l'enseignement supérieur à la hauteur des défis auxquels nous sommes confrontés.
« En attendant, je ne saurais cependant me dérober à mon devoir de garant de l'ordre public et je réaffirme ma ferme volonté de mettre fin à toute atteinte à cet ordre».

René Préval
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NOUVELLES INTERNATIONALES
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Il y a quelques minutes, au 84ème jour de résistance populaire, le Président Zelaya est enfin rentré dans son pays, et se trouve actuellement dans le siège des Nations Unies.
La marche populaire a changé de direction et se dirige dans une ambiance de fête, accompagnée des dirigeants des mouvements sociaux arrivés sur les lieux.
Des rumeurs évoquent la possible sortie du gobierno de facto du pays. Le Président Zelaya vient de déclarer a Télésur " Je suis ici pour répondre à l'exigence du peuple, et en fonction des résolutions internationales, de l'OEA, du SICA, de l'ALBA, du CARICOM, de UNASUR, etc.. pour rétablir la démocratie. J'ai réussi à éviter mille obstacles, pacifiquement, pour arriver dans la capitale. Je souhaite renouer le dialogue qui permettra au peuple de recouvrer sa souveraineté. Je compte sur la proche réunion des chefs d'État aux Nations Unies pour continuer à appuyer notre retour à la démocratie."
T. D.
 
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