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  Haiti Business
 
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INFO HAITIENNE

HAITI BUSINESS

Haïti regorge de ressources en matières premières
stratégiques pour les puissances militaires

(A voir aussi absolument :
http://www.mbetv.com/seisme-en-haiti-%e2%80%93-une-equation-etrange et  http://www.youtube.com/watch?v=fDETxHHPse8&feature=sub)

  

En cherchant un peu, on peut trouver un grand nombre d’indicateurs qui expliquent que Haïti représente un potentiel énorme en ressources pétrolières, aurifères, mais également en Iridium.
L'iridium est un métal rare du groupe du Platine, qui est très peu connu des gens et extremement cher. Apparement qu'une seule tonne de ce minérai/métal vaut actuellement près de $45 milliards US. Ce métal est actuellement utilisé dans l’industrie militaire (missiles tactiques nucléaires), mais aussi et surtout dans le développement de l’industrie liée à la conquête de l’espace : navettes spatiales, satéllites, fusées, système de mise en orbite, etc…). Haïti est le deuxième pays au monde (après l’Afrique du Sud, le principal fournisseur mondial) avec le plus grand gisement de ce métal. L’ex-président de la Raffinerie Dominicaine de Pétrole (REFIDOMSA), Leopold Espaillat Nanita, a révélé que les études et les recherches géologiques réalisées sur le sol haïtien indiquent que cette nation possède conjointement avec la République Dominicaine, possiblement le terrain aurifère non exploité le plus grand du monde. L'article avec l'interview en détail de Leopold Espaillat Nanita peut etre lu a ce site: www.espacinsular.org.
A la lumière de ces éléments, on pourrait facilement en déduire que la volonté et l’énergie déployées par Washington pour déployer rapidement entre 12 et 15.000 soldats sur le sol haïtien dans une mission qui, comme l’annonce le haut commandement militaire US, se prolongera dans le long terme. (Sans mentionner les militaires chinois, israeliens, britanniques qui se sont aussi deployes tres vite). Pourtant, bien avant que les unites de secours americaines et internationales arrivent en Haiti apres le seisme, il y avait deja sur le terrain 344 docteurs Cubains et des equipes de secours en desastres Venezueliens, mais les medias occidentaux ne les ont meme pas mentionne. On pourrait egalement mieux comprendre un aspect qui n’est pas explique dans les grands medias, c.i.e.: les raisons strategiques et economiques qui expliquent pourquoi est-ce que c’est dans la petite ile d’Haiti que les Etats-Unis ont construit leur 5e plus grande ambassade (après la Chine, Iraq, Iran et Allemagne).  
 
Dans les années 70 des travaux géophysiques ont été entrepris en divers points d’Haïti. Les forages ont signalé la présence d’huile et de gaz révélateurs de l’existence de pétrole. Des réservoirs de pétrole ont été localisés dans les sédiments marins entre 6000 à 7000 mètres de profondeur dans le Canal de la Gonâve et spécifiquement dans la Baie de Rochelois à l’Ile de la Gonâve. Parmi les zones d’intérêt potentiel, citons le Plateau Central, la partie terrestre de la Plaine du Cul-de-Sac et la Grande Caïmite. Les chercheurs estiment que les reserves de petrole haïtien sont plus grandes que celles du Venezuela. Voir Haiti Has Larger Oil Reserves Than Venezuela Says Scientists . Ceci est également expliqué en détail par Dr. Georges Michel dans un article du 27 Mars 2004 illustrant l’histoire d’exploration pétroliere et des réserves pétrolieres en Haiti, ainsi que par les recherches de Dr. Ginette et Daniel Mathurin.
 « L’état actuel des connaissances accumulées sur le potentiel pétrolier haïtien est suffisamment satisfaisant pour attirer des investissements. » conclut le rapport No 3 du Bureau des mines d’Haïti. Mais pourquoi ne peut-on pas exploiter le pétrole d’Haïti et soulager la misère du Peuple haïtien ?
La raison est d’ordre politique. Haïti est considérée comme l’arrière-cour du Grand Voisin (les USA bien sur). Le pétrole haïtien est inclus dans leurs réserves au cas d’une pénurie mondiale causée par la Guerre ou l’épuisement de cette ressource naturelle non renouvelable au Moyen-Orient et sur les autres continents. En 1949, le Gouvernement de Dumarsais Estimé avait déjà tenté d’exploiter les gisements pétrolifères haïtiens en faisant appel à la « Atlantic Reffining Company » (ATRECO). Les travaux de forage ont été exécutés avec l’assistance du Ministère de l’Agriculture et des Ressources Naturelles et du Développement Rural sous la supervision de l’Agronome Jean David. Encore aujourd’hui, si l’on se rend sur la localité de Caradeux, entre l’Aéroport International et Pétion-Ville, on peut voir les traces des Derricks qui ont oeuvré dans la zone. La bouche du puit est scellée avec une plaque en cuivre portant la date de forage et le nom de la ATRECO. L’ordre formel fut donné par Washington de cesser immédiatement les travaux, ATRECO fut dédommagée. Adieu pétrole haïtien!
Il n’est pas superflu de mentionner qu’en 1975 le Gouvernement de Jean Claude Duvalier a fait appel à la Crux Limited pour l’exploration des dites ressources pétrolières repérées dans la rade de Port-au-Prince près de la Gonâve, aussi bien qu’à Grande Saline. L’INAREM ou Institut National des Ressources Minières dont le Coordinateur fut Henri P.Bayard a entamé des recherches pendant près de 6 mois de Port-au-Prince jusqu’à la frontière dominicaine comme l’aire possible du forage entrepris par la ATRECO dans la Plaine du Cul-de-Sac. Ce puit se trouverait sur la route vicinale qui sort de Caradeux pour aller à la chapelle Ste Marie de Pétion-ville. Des échantillons ont été prélevés et analysés dans le laboratoire du Bureau des mines. Les ingénieurs ont établi l’existence d’une nappe de pétrole sous-marine contiguë aux gisements pétrolifères du Venezuela (la capacité de cette nappe est estimée par certains, 5 fois supérieure à celle de son voisin continental). Une fois de plus, la Compagnie Crux Limited a été forcée d’abandonner les travaux d’exploration, pour les mêmes raisons qu’ATRECO en 1949.
Quelques années plus tard, un ingénieur géologue haïtien, ministre des Mines a tenté de reprendre les travaux de concert avec les autorités vénézuéliennes, et si ce n’est grâce à la vigilance de la police vénézuélienne, il serait mort suite à une tentative d’assassinat dans la chambre d’hôtel où il se trouvait lors de son séjour au Venezuela pour mettre les accords au point.
L’ex-président de la Raffinerie Dominicaine de Pétrole (REFIDOMSA), Leopold Espaillat Nanita, qui est également architecte, dénonce le fait que ces ressources sont peu connues en raison d’une « conspiration » des multinationales, qui prétendent enlever aux Haïtiens leurs richesses naturelles. L’ex-président de REFIDOMSA a dit que dans cette « conspiration », sont impliqués certains holdings pro-USA mais aussi des fonctionnaires d’Etat qui se dédient à entretenir la pauvreté et l’indigence en Haïti.

 

 

1. Carte de cinq sites pétrolifères tirée du livre blanc de F. L. (p. 64) - Map of mining resources in Haiti and showing 5 oil sites in Haiti, from the "White Book" of Fanmi Lavalas

http://www.margueritelaurent.com/pressclips/oil_sites.html#5_oil_sites_in_Haiti 


 
There is also good evidence that these very same big US oil companies and their inter-related monopolies of engineering and defense contractors made plans, decades ago, to use Haiti's deep water ports either for oil refineries or to develop oil tank farm sites or depots where crude oil could be stored and later transferred to small tankers to serve U.S. and Caribbean ports. This is detailed in a paper
about the Dunn Plantation at Fort Liberte in Haiti.

 Voir aussi: http://www.mecanopolis.org/?p=12802

Haïti dévasté - À chaque don ses frais administratifs?

Entre 2 et 10 % de l'argent donné est utilisé pour couvrir les dépenses des organismes

La Presse canadienne   8 février 2010  Actualités internationales
Les organisations humanitaires reconnaissent que des sommes énormes doivent d’abord être dépensées pour la logistique avant de servir à fournir de la nourriture, de l’eau, un abri et des soins médicaux.
Photo : Agence France-Presse Roberto Schmidt
Les organisations humanitaires reconnaissent que des sommes énormes doivent d’abord être dépensées pour la logistique avant de servir à fournir de la nourriture, de l’eau, un abri et des soins médicaux.
Alors que les ministres des Finances du G7 se sont engagés, samedi, à annuler les dettes bilatérales qu'Haïti a contractées auprès d'eux, les organisations humanitaires se démenaient pour acheminer le plus d'argent possible dans le pays dévasté par un violent séisme le 12 janvier dernier.

Mais les coûts administratifs, les défis logistiques et, dans certains cas, une tenue de comptes douteuse font en sorte que certains dons sont plus susceptibles que d'autres de soulager les survivants du séisme du 12 janvier, selon un sondage mené par La Presse canadienne auprès de six organismes canadiens.

Celui-ci a révélé que, si certains assurent que chaque dollar sera envoyé en sol haïtien, d'autres retiennent un certain pourcentage des sommes reçues afin de gérer les fonds.

Variant entre 2 et 10 %, ces prélèvements sont utilisés pour couvrir des dépenses telles que la publicité, le fonctionnement des centres d'appels et l'entretien des serveurs des sites Web.

La comparaison entre les différents groupes interrogés peut toutefois être trompeuse puisqu'il n'existe pas de manière établie pour calculer les frais administratifs.

World Vision Canada a pour objectif de consacrer un maximum de 10 % des dons à la gestion.

International Development and Relief Foundation prélève quant à lui 8,5 % de tout l'argent reçu pour l'administration.

Du côté de l'Humanitarian Coalition, qui regroupe notamment OXFAM-Canada, OXFAM-Québec, Care Canada et Aide à l'enfance Canada, les coûts administratifs représentent environ 8 % des sommes amassées.

UNICEF Canada prévoit que ses frais de gestion accapareront entre 2 % et 5 % des fonds.

Seuls Plan International Canada et Adventist Development and Relief Agency Canada se sont engagés à verser la totalité du montant à des projets en sol haïtien.

Même quand l'argent est effectivement expédié en Haïti, rien ne garantit que les dons serviront uniquement à fournir de la nourriture, de l'eau, un abri et des soins médicaux. Les organisations humanitaires reconnaissent que des sommes énormes doivent d'abord être dépensées pour la logistique.

Par exemple, il peut coûter jusqu'à 2000 $US par jour pour louer un véhicule afin de transporter de l'eau potable de la République dominicaine jusqu'à Haïti.

«Le besoin le plus pressant est vraiment du côté du transport parce que tout le monde se dispute les camions et les conducteurs», a affirmé Jane Connolly, directrice des programmes pour International Development and Relief Foundation. «C'est l'un des problèmes en matière de chaîne logistique que l'on rencontre après des désastres.»

Les organismes d'aide se sont récemment efforcés de faire preuve de plus de transparence concernant l'utilisation des dons qu'ils reçoivent.

À la suite du tsunami de 2004 en Asie, plusieurs personnes ayant donné de l'argent avaient été surprises d'apprendre que certains organismes importants n'étaient pas en mesure de dépenser toutes les sommes amassées alors que des groupes plus modestes n'arrivaient pas à financer leurs projets.

La majorité des dollars versés spécifiquement pour la catastrophe ne se sont jamais rendus jusqu'aux victimes et ont plutôt été utilisés pour d'autres programmes.
 
Source : Le devoir.com


 
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Courtoisie de ERC

 

 

ECONOMIE ET FINANCE

Haïti – Séisme- Téléphonie: la Viettel toujours intéressée a la Téléco malgré la catastrophe
Posté le 1 février 2010


La compagnie vietnamienne Viettel est toujours intéressée à acquérir 70% des parts de la compagnie de téléphonie publique Téléco, malgré la catastrophe, s'est réjouit le directeur de la boite Michel Présumé.

 

 

JJ/HPN

 

 

Le processus de privatisation va être réactivé, a fait savoir M. Présumé qui a remercié la Viettel pour sa solidarité avec Haïti. Cette compagnie avait proposé avant le séisme de racheter à 59 millions de dollars 70% des parts de la Téléco et se dit toujours intéressée à les avoir malgré le fait que la compagnie est en partie détruite.

 

« D'habitude, ces grandes compagnies sont intéressées par le profit, mais les responsables de la Viettel ont déclaré qu'ils voulaient à leur façon participer à l'effort de reconstruction du pays et maintenaient leur offre », a fait savoir Michel Présumé dans une interview accordée dimanche à une radio de la capitale.

 

Rappelons que des deux buildings de la Téléco, l'un a été complètement détruit et l'autre a été endommagé. La compagnie a perdu une dizaine de kilomètres de câbles, a indiqué Michel Présumé.

 

Le directeur de la Téléco dit déplorer la perte du bâtiment de la Rue Pavée qui contenait du matériel important. Concernant, l'immeuble de Pont-Morin, il dit reconnaître que le bâtiment est fissuré mais qu'il n'est pas nécessaire de le détruire. Il faut seulement, selon lui, renforcer les structures existantes.

Haiti-UE-APE : Finalement, le gouvernement haïtien signe l'Accord de Partenariat Économique

jeudi 10 décembre 2009

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P-au-P., 10 déc. 09 [AlterPresse] --- Le gouvernement haitien a finalement signé ce 10 décembre l'Accord de Partenariat Économique (APE) qui lie désormais Haiti ainsi que 14 autres pays de la Caraibe avec l'Union européenne.

Haiti est le dernier pays du Forum des États de la Caraibe (Cariforum) à signer cet accord de commerce et développement, paraphé à la fin de 2008.

Sous la pression des mouvements sociaux qui ont conduit un plaidoyer contre cet accord, les gouvernements précédents de Jacques Édouard Alexis et Michèle Pierre-Louis avaient montré des réticences à le signer.

Le document engage ses signataires, entre autres, à progressivement lever les obstacles au commerce entre les deux régions, faciliter le commerce de biens et services et attirer plus d'investissement entre les deux régions, en garantissent un cadre légal plus ouvert, plus stable et plus transparent.

L'APE est un accord international juridiquement contraignant, compatible avec les règles de l'Organisation Mondiale du Commerce.

La Plateforme Haitienne de Plaidoyer pour un Développement Alternatif (PAPDA) a toujours qualifié l'APE d'accord de libéralisation commerciale qui constitue une menace pour la souveraineté alimentaire des pays partenaires.

Pour ce réseau, l'APE ne vise qu'à décapitaliser les secteurs productifs et réduire à néant les bases économiques d'Haiti.

Les autres pays signataires sont : Antigua & Barbuda, Bahamas, Barbade, Belize, Dominique, République Dominicaine, Grenade, Guyana, Jamaïque, Ste. Lucie, St. Vincent & les Grenadines, St. Kitts & Nevis, Suriname, Trinidad & Tobago.


 

ALLOCUTION DE GUY LAMOTHE  DIRECTEUR GENERAL

DU CENTRE DE FACILITATION DES INVESTISSEMENTS

VENDREDI 25 SEPTEMBRE 2009

« Lancement du Registre du Commerce en ligne » 

Madame la Ministre du Commerce et de l’Industrie,

Ministres du Gouvernement,

Membres du Conseil d’administration du CFI,

Partenaires Internationaux,

Hommes et femmes de loi,

Chers Investisseurs,

Chers amis et collègues,

Le Lancement officiel du « Registre du Commerce en ligne » est un évènement à la fois inédit et capital. Inédit, parce qu’il s’agit d’une grande première dans toute l’histoire de l’administration publique haïtienne. Car, jamais auparavant un tel service n’a été fonctionnel dans les annales de l’administration haïtienne. Capital, puisqu’il s’harmonise avec l’une des préoccupations fondamentales du Président René Préval, nettement définie dans son discours traditionnel au Parlement en 2008  où il avait déjà placé la facilitation des investissements au cœur de l’action gouvernementale articulée par le Premier Ministre Michèle Pierre-Louis et son Ministre du Commerce Marie-Josée Garnier.

Aujourd’hui, après une réduction substantielle dans le délai d’enregistrement des sociétés, ce nouvel outil est, de toute évidence, une  petite révolution.

Imaginons un instant les gains en termes de temps que l’usager réalisera lorsqu’il n’aura plus à compulser les registres volumineux de la Direction des affaires Juridiques du MCI pour vérifier l’existence d’une société ou d’un nom commercial et la somme de tracasseries que ce registre en ligne va éviter tant à l’usager qu’au MCI lui même.

Désormais, en un clic, l’utilisateur est informé et pourra confortablement prendre ses décisions parmi les 25.000 noms de sociétés déjà enregistrés, les centaines de brevets et les milliers de noms commerciaux et marques de fabrique.

Evidemment nos usagers voudront nous pardonner la période obligée de rodage du système. Le produit que nous allons inaugurer dans quelques minutes n’est pas achevé. Il évoluera de façon permanente dans les jours à venir car le souci permanent est de contribuer à un changement culturel, à savoir placer l’utilisateur comme point de départ et d’arrivée de toute la réflexion.

 

Madame la Ministre du Commerce et Présidente du Conseil d’administration du CFI,

Mesdames Messieurs les avocats,

Amis investisseurs,

 

Le  « Registre du Commerce en ligne » est le résultat d’une fructueuse collaboration triangulaire entre le MCI, le CFI et USAID/I-Trade. Le MCI qui nous a ouvert ses portes, a toujours accueilli avec un bon esprit nos suggestions pour une amélioration du service. Le rôle du CFI a été toujours d’insuffler un petit air de changement en plaidant pour le saut obligé vers le numérique.

 

C’est un processus de longue haleine qui aboutira sans nul doute à :

  1. une plus grande fiabilité du système que nous mettons aujourd’hui à votre disposition,
  2. la numérisation des marques de fabrique et brevets d’invention,
  3. la standardisation de la carte d’identité professionnelle et, pourquoi pas, de tous les autres services offerts par le Ministère dont principalement la constitution de sociétés en ligne.

Tout est possible, il suffit d’y mettre la bonne volonté, d’être ouvert au changement et, aussi, de bénéficier du support sans faille d’un partenaire comme l’USAID/I-Trade.

Le CFI (conseil d’administration et direction générale), depuis son inauguration, a réalisé un certain nombre d’études, mené des travaux et animé des débats ayant pour finalité une amélioration du cadre général des affaires dans le pays.

Des propositions ont été faites aux secteurs intéressés et je suis particulièrement fier de constater que le débroussaillage opéré par le CFI  permettra à I-Trade de lancer très bientôt le « Projet S.A. 75 » visant une réduction encore plus substantielle du délai de constitution d’une société.

D’autres chantiers ouverts par le CFI ont été fort heureusement portés par la Commission Présidentielle sur la  Compétitivité  et connaitront, à n’en pas douter, une réussite bénéficiant à toute la société haïtienne en termes de création d’emplois de croissance soutenue et d’amélioration de l’attractivité pays en matière d’investissement et de commerce.

Chers Invités,

Le CFI se tiendra toujours aux côtés de tous les groupes de réflexion ou institutions pour tout partenariat stratégique où tout le monde sortira gagnant. D’ores et déjà nous les remercions vivement de leur appui.

Le « Registre du Commerce en Ligne » sera hébergé sur le site du CFI www.cfihaiti.net . Je crois que c’est une initiative heureuse qui  nous met dans l’obligation de toujours faire mieux. Le site du CFI est en perpétuelle rénovation malgré nos faibles moyens. Notre ambition est d’en faire un site référence sur Haïti et, ceci, en 3 langues (Français, anglais et espagnol).

Il importe de souligner les retombées positives du « Registre du Commerce en Ligne » pour les promoteurs, investisseurs, hommes de lois et chercheurs. Grâce à ce nouvel outil – en un clic – Haïti s’ouvre au monde des affaires. Désormais, sous quelque latitude qu’il se trouve, l’entrepreneur des Etats Unis d’Amérique, de Singapour, du Brésil ou de l’Arabie Saoudite jouit de l’opportunité d’accomplir les premières formalités d’usage pour la constitution d’une société en Haïti.

J’émets le vœu que cet outil soit une porte ouverte sur deux autres avancées indispensables, comme l’adoption dans nos mœurs administratives de la signature électronique et, conséquemment, du paiement électronique. Nous espérons que d’autres services publics puissent emboiter le pas et créer ainsi un réseau d’informations sur Haïti et de services administratifs en ligne.

Je vous remercie de votre attention. 

 

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